Son bureau (partie 1) | Histoires luxuriantes

Sa femme le fixa alors qu’il luttait pour garder les yeux ouverts. Le cliquetis de son clavier et le tic-tac de l’horloge étaient les seuls bruits qui pouvaient être entendus. Elle soupira et se leva. Marchant avec détermination, elle éloigna son siège de son ordinateur et s’assit à califourchon sur ses genoux. Ses yeux se posèrent sur les siens, sa bite poussant contre le tissu entre eux.

« Chérie, tu passes tellement d’heures tardives ici au bureau. Pourquoi ne pas faire appel à une secrétaire pour vous aider à alléger votre fardeau ? » Il posa ses mains sur ses hanches et lui sourit.

« Et risquer que quelqu’un m’accuse de coucher avec ma secrétaire ces nuits tardives ? » Elle commença à bouger doucement ses hanches, l’écoutant lutter pour parler. « De plus, que penseraient-ils s’ils vous voyaient faire des choses comme ça dans mon bureau? » Il gémit. Elle sourit et se retourna pour se pencher sur son bureau.

« Ensuite, engagez-en un mignon et peut-être qu’il se joindra à vous. Pas besoin de rumeurs si c’est vrai. Il rit en se levant. Elle entendit sa ceinture se défaire et son pantalon toucher le sol.

« Et s’ils ne se joignent pas ? » Il a atteint sous sa jupe traçant ses bas.

« Alors je suppose qu’ils devront juste faire attention lorsqu’ils entreront dans votre bureau après les heures. » Il a déchiré ses bas en poussant sa culotte sur le côté. Elle soupira alors qu’il pressait sa bite contre elle.

« Si vous insistez pour avoir ces nuits tardives, je suppose qu’elles le feront. » Il la percuta en secouant le bureau. Elle cria alors qu’il s’enfonçait en elle. « Allez-y salope, engagez-moi une secrétaire pour que je puisse vous transformer tous les deux en salopes. Mieux encore, après avoir formé le premier, je vous laisserai en embaucher un second. Il pouvait la sentir se mouiller à cette pensée.

« O-oui monsieur n’importe quoi pour vous, » gémit-elle. Il souleva ses jambes, les écartant sur son bureau pour qu’il puisse s’enfoncer plus profondément.

« Regarde-toi, devenir fou à l’idée de ma bite dans une autre pute. Tu as toujours aimé me regarder baiser d’autres personnes. Si vous et les salopes que vous embauchez faites assez bien, je peux même vous laisser nous embaucher un garçon pour nous entraîner.

« Oui! S’il vous plaît monsieur, je ferai de mon mieux ! Il passa sa main autour d’elle et commença à jouer avec son clitoris.

« Quelle bonne petite salope. » Il s’enfonça en elle en écoutant ses gémissements désespérés alors qu’elle jouissait sur sa bite. « Les bonnes salopes auront des récompenses. » Il s’écarta et commença à remettre son pantalon.

« Et vous? » Elle gémit, le fixant avec envie. Il sourit à sa femme.

« Oh? » Il réfléchit alors qu’elle le regardait à travers des yeux cagoulés. « Très bien alors » il la poussa sur ses genoux et présenta sa bite à sa bouche. Elle le prit avec impatience en le suçant dans sa gorge. Il a commencé à pousser dans sa gorge en prenant le contrôle des mouvements. Ses cris et ses gémissements le font devenir plus dur. Ses yeux se révulsèrent alors qu’il commençait à gonfler. Poussant une dernière fois, il descendit dans sa gorge. Elle haleta alors qu’il se retirait.

« Merci, monsieur, » bredouilla-t-elle. Alors qu’elle se levait, il sourit. La saisir à nouveau. Elle laissa échapper un cri alarmé et il déchira sa culotte laissant tomber le tissu loin d’elle.

« Oh, ma petite pute. Comme tu es audacieuse de supposer que tu as fini. » Ses yeux se sont agrandis

« Je suis désolé monsieur, » couina-t-elle alors qu’elle était tournée et pressée contre la fenêtre de son bureau.

« Oui, je suis sûr que tu es ma petite salope, mais je dois m’assurer que tu sois puni. » Il recula légèrement et lui donna une fessée. Ses cris ont commencé à remplir le bureau alors qu’il la punissait. Une fois qu’il fut satisfait, il baissa sa jupe et couvrit ses joues de baisers.

« J’ai du travail à finir, mais toi, tu vas continuer à te baiser sur mon canapé, rester bien mouillé pour que je puisse me faire plaisir quand je veux. Si vous faites assez bien, je vous laisserai publier une annonce d’embauche demain. Elle hocha la tête, retournant vers le canapé. Elle écarta les jambes pour qu’il puisse la regarder se doigter pendant qu’il terminait la paperasse pour la nuit. Pendant qu’elle était allongée là, les heures s’étiraient. Finalement, elle tremblait d’effort et de plaisir. Il se leva et elle leva les yeux vers lui. En quelques enjambées rapides, son pantalon était enlevé et il était en elle la martelant dans le canapé. L’orgasme qu’elle avait explosé autour de sa bite alors qu’il jetait ses jambes sur ses épaules. « Je ne me lasse pas, es-tu ma salope ? »

« Non, bien sûr que non monsieur ! » cria-t-elle alors qu’il martelait sa chatte. « Je veux être bon pour toi ! » elle a plaidé. Il sourit en ralentissant légèrement son rythme.

« Ensuite, je vais baiser ta petite chatte de salope jusqu’à ce que je jouisse, et tu vas commencer à chercher à embaucher demain. » Elle hocha la tête alors qu’il la faisait tourner. La plaçant à quatre pattes et tendant la main pour pincer son clitoris, il commença à s’enfoncer en elle. « Putain de salope prend le sperme des maîtres pour moi. »

« Oui monsieur, tout ce que vous demandez ! » gémit-elle. Il sourit en s’enfonçant en elle. Glissant ses mains le long de son corps tout en courbes, il attrapa l’encolure de son chemisier boutonné et le déchira. Sa poitrine rebondissait chaque fois qu’il s’enfonçait en elle. Il gémit alors qu’elle jouissait une fois de plus sur lui. Lentement, il sentit son apogée commencer à monter. Écouter ses sons le rendait fou. Il la souleva sous ses genoux et se tourna vers le miroir plein dans son bureau.

« Regarde-toi remplir ma petite pute. Regarde-toi remplir le but pour lequel tu es bon.

Ses yeux étaient collés à son énorme bite qui la remplissait, chaque poussée faisant bouger sa poitrine. Sa bouche s’ouvrit lorsqu’elle le sentit gonfler. Il s’enfonça profondément en elle en la tenant sur sa bite alors qu’il commençait à gicler de sperme en elle. Elle regarda alors qu’il commençait à fuir d’elle et sur le sol de son bureau. « Une si bonne petite salope de sperme. Demain, tu pourras commencer à embaucher. Assure-toi de me trouver de bonnes salopes à casser, ok bébé? »

Elle hocha la tête alors qu’il la plaçait sur le canapé. Elle s’assoupit pendant qu’il la nettoyait et l’enveloppait dans une couverture. En lui souriant, il savait que dans quelques heures, il la réveillerait avec sa bite à nouveau en elle, alors il a laissé ses vêtements.