Mon téléphone sonne et quand je regarde, c’est mon mari, Steve, qui m’envoie un texto. Il ne prend même pas la peine d’appeler. Il dit qu’il va encore rentrer tard du travail. Je viens de finir de mettre le dîner sur la table.
Je m’assois là et je mange seul, en buvant un verre de vin rouge foncé. Je sais qu’il baise quelqu’un maintenant. J’enlève mon pantalon et commence à me doigter la chatte pendant que je finis de manger seul. Ce bâtard.
C’est quelques heures plus tard que je l’entends entrer. La nourriture est au réfrigérateur depuis un moment. Je suis allongé nu dans mon lit. Je l’entends fouiller. Il sort une bière du frigo et commence à la boire en regardant la télé. Je recommence à me masturber, me frottant la chatte, me caressant jusqu’à ce que ma chatte commence à s’engorger.
Il commence à se diriger vers la salle de bain pour prendre une douche mais je l’arrête avant qu’il n’en ait l’occasion.
« Faisons l’amour », dis-je.
« Je suis vraiment fatigué », dit-il.
Je l’attrape par l’aine et donne un coup sec à sa jonque, le tirant vers la chambre.
Nous sommes toujours dans le couloir quand je défait sa ceinture et baisse son pantalon et son slip. Sa bite est encore assez douce. Je peux voir qu’il est un peu rouge, violet, on dirait qu’il a déjà eu un bon entraînement. Temps pour un peu plus. Je commence à masser la base de sa bite et à frotter ses couilles et il commence à se raidir un peu. Son sexe est encore un peu humide, d’elle, qui qu’elle soit. J’approche mon visage de sa queue pour qu’il puisse sentir mon souffle chaud dessus. Je peux sentir la chatte sur sa queue.
Merde, ça fait combien d’années qu’on est ensemble maintenant ? Vingt cinq? Plus que ça. Je commence à lécher et sucer le bout de sa bite. Je peux goûter sa chatte sur lui.
Je commence à serrer la base de sa bite forçant les fluides vers le bout. Ouaip, il y a encore une petite goutte de sperme dans sa hampe. Aww, elle en a laissé derrière elle. Sait-il que je sais ?
Il devient assez dur maintenant. Je dois admettre qu’il est assez grand quand il est dur. Je me souviens quand nous avons commencé à sortir ensemble. J’étais assez petit. Sa queue semblait SI grosse ! C’était si bon dans ma chatte serrée. Maintenant, sa bite est engorgée presque à pleine taille.
Je commence à sucer fort sa queue. Je le tire dans ma bouche de plus en plus profondément. Je tire sur ses fesses pour forcer sa bite dans le fond de ma gorge. Il attrape par réflexe mes courts cheveux noirs et tire ma tête dans son aine jusqu’à ce que mon nez soit enfoui dans son pubis. Je peux encore sentir sa chatte sur lui.
Je me souviens quand cela m’aurait déjà fait bâillonner. Mon réflexe nauséeux a pratiquement disparu maintenant. Cela a demandé pas mal de pratique. Bien que, si cela dure assez longtemps et assez profondément. Ouais, ça y est, j’ai encore un peu de réflexe nauséeux. L’épaisse bave que j’étouffe recouvre sa bite alors que je la frotte avec mes mains sur tout son sexe et ses couilles. J’avale l’excès de slime et l’avale.
Ses boules sont assez amincies maintenant. J’enroule mon pouce et mon index autour de la base de son scrotum et commence à serrer alors que ma paume s’enroule autour de ses couilles bien serrées. Il laisse échapper un gémissement, surtout de plaisir. Je serre un peu plus fort. Puis il gémit vraiment, cette fois involontairement.
Il commence à pomper sa bite au fond de ma gorge. C’était probablement ce blond maigre du bureau. Je pense à lui en train de la baiser alors qu’il continue de me baiser la bouche. Je sens des larmes couler sur ma joue, je suis tellement en colère, ou peut-être que c’est à cause de la fellation. Ma chatte est mouillée maintenant. Je sens une moiteur à l’intérieur de ma cuisse. Assez de ça.
Je m’éloigne de lui et me lève. Je l’attrape par les couilles et le tire dans la chambre. Là où vont les balles, le reste du corps suivra. Je le couche sur le dos et le monte. Nous sommes tous les deux tellement mouillés qu’il glisse facilement dans ma chatte, puis je commence à le pilonner, à rebondir sur lui, plus vite et plus fort.
Il halète assez fort, mais je commence à penser qu’il ne pourra pas jouir. Merde, tu vas jouir ! Je m’éloigne de lui, me retourne et recommence à lui sucer la bite. Pendant que je suce sa bite, je frappe ses couilles une fois fort. Il essaie par réflexe de fermer ses jambes. J’ai écarté ses jambes doucement, mais avec force, tout en suçant sa bite. J’enfonce sa bite au fond de ma gorge et lui tape à nouveau sur les couilles, très fort cette fois. Il crie, mais je continue à les gifler avec frénésie pendant que je suce sa bite. Cela l’a eu!
Il laisse échapper une série de gémissements alors que son sperme chaud jaillit dans ma bouche. Je garde ma bouche verrouillée sur sa queue jusqu’à ce que je fasse sortir tout le sperme de sa hampe. Je n’en laisse aucun derrière moi ! Après son orgasme, il commence à se détendre. Je m’assure de recevoir chaque goutte de sperme dans ma bouche en passant le bout de ma langue sur le bout de sa queue.
Je m’allonge à côté de lui et commence à lui frotter la poitrine. Je tourne son visage pour qu’il me regarde. Il a un regard lointain dans les yeux. Je prends une profonde inspiration par le nez, j’ai encore une gorgée de sperme. Je lui crache directement au visage.