Ils brillaient et brillaient sur ma page.
Riches, vibrantes, de teintes et de tons miellés,
Un arc-en-ciel de beauté.
Sa forme nue, digne de mourir mille morts.
Chaque courbe exquise, juste à l’endroit parfait,
Remplit mes mains d’émerveillement.
Chaque poitrine pleine, mûre et succulente,
Couronné de tétons, qui me coupent le souffle.
Si ferme à mon toucher, serrant parfaitement,
Leur couleur s’assombrissant à mesure que le plaisir éclate,
Envoi de messages de désir et de convoitise.
Mais je m’oublie.
Ses yeux, m’attirent dans les étangs sombres du désir,
Où la luxure règne et où mon diable domine.
Des lèvres légèrement recouvertes de brillant, mais qui laissent toujours leur marque.
Si je pouvais peindre la forme féminine parfaite,
Alors elle serait mon sujet.
Mais encore plus spectaculaire,
Son esprit chargé de crasse, ravi par la douleur,
Enraciné dans les désirs de m’apporter mon plaisir le plus profond.
Maintenant tu l’aperçois,
Tu ne la veux pas toi aussi ?