Réflexions : laisser des égratignures | Histoires luxuriantes

J’aime l’idée de laisser ma marque sur ton corps après avoir baisé ; baise longue, dure, profonde et significative. Enfoncer mes ongles dans la peau de tes cuisses, de tes bras et de ton dos ! La pensée qu’ils soient vus et interrogés me rend chaud.

Sachant que vos amis, votre épouse, votre fiancé, votre petite amie ou même vos parents peuvent les voir et vous demander ce qui s’est passé et comment vous les avez obtenus ; sachant que tu vas mentir et trouver une excuse à moitié con pour dissimuler le fait que j’ai laissé ma marque sur toi après que tu m’aies baisée jusqu’à ce que je voie des étoiles et roule mes jolis yeux verts en arrière, mord ma lèvre et gémis « papa » à bout de souffle alors que chaque coup léger ou rugueux de votre bite dure et nue à l’intérieur de ma chatte serrée et dégoulinante frappe profondément contre mon col non protégé … me rend chaud et humide.

Vous le voudrez encore et encore, n’est-ce pas ?

Vous ne pouvez pas résister !
Je ne peux pas résister à ma chatte, serrée comme un étau autour de ta bite, tellement humide et devenant plus crémeuse à chaque poussée de ta bite en moi ; ma poitrine lourde, essoufflée et douloureuse tandis que tu me dévores, me consume ; me voler loin de la réalité avec chaque halètement, chaque gémissement; chaque petit cri qui sort de mes lèvres.

Je ne peux pas résister à ce que mes ongles s’enfoncent en toi pour la vie chère; mon monde se referme et s’ouvre tout à coup comme s’il tournait sur son axe.

Je ne peux pas résister à mon orgasme qui me déchire comme un trou noir, me dévore, et que je l’accueille à bras tendus ; embrassant la destruction de mon orgasme volcanique.

Les yeux roulent, les ongles s’enfoncent et la combinaison d’un gémissement et d’un cri me gratte la gorge comme un démon essayant de se frayer un chemin. Possédée et submergée de plaisir, ma chatte se serre autour de toi alors que mon orgasme éclate comme le mont Vésuve, ta bite et les draps sous nous Pompéi ; la destruction inévitable.

C’est alors que je te sens relâcher tes poussées, ton propre orgasme destructeur dressant la tête, martelant en moi lentement mais fort, signalant que tu es sur le point d’éclater et que tu as envie de remplir mon ventre de ton sperme chaud ; aucun de nous ne se souciant des risques de notre nuit ensemble.

Une pensée et un rêve; J’aimerais que ce soit la réalité !