Je veux goûter tes lèvres douces et douces et faire courir mes doigts sur tes côtés.
Pour faire courir mes dents, si taquinant dans ce cou délicat.
Pour laisser mes doigts parcourir doucement ton dos, dessinant des motifs sur ta peau chaude
Puis trouvant ce fond magnétique qui est le vôtre, prenant sa magnificence
Le pétrissant avec les doigts d’un amant, mon visage pressé contre ton cou.
Pétrir lentement ces deux pêches rondes
Les lèvres sont dessinées pour trouver ta bouche chaude et affamée
Je t’embrasse profondément et avec amour.
Broyant mon corps contre le tien, mon besoin est clair dans le tatouage de mon rythme cardiaque
Mon corps ondule quand il touche le tien.
Des étincelles de doux désir dansent dans mon corps.
Des gémissements dans les baisers, des doigts coulant sur le corps de l’autre.
La douce piqûre lorsque les ongles sont tirés sur la peau tendre
La chaleur de deux corps fusionnant, deux ruisseaux se jetant dans une puissante rivière
Nos hanches bougent en rythme de contrepoint
Les bras enroulés autour du dos de l’autre, se tenant l’un contre l’autre
Ne voulant pas laisser l’autre partir, même pour une seconde.
Les bouches se séparent alors que nous nous battons pour l’air
De douces paroles d’amour chuchotées dans des oreilles avides.
Le doux chant des sirènes de notre amour, de plus en plus fort dans nos oreilles
Le frisson de chaleur nous traverse, comme les rayons du soleil en été ou la chaleur d’un feu.
La soudaine danse saccadée, la vision floue
Visages collés aux épaules
Cris étouffés.
Cet éclair de chaleur, comme du brandy sur une poêle chaude
Le woosh de la flamme, alors qu’elle s’élève dans le ciel.
Pendant un instant, deux âmes ont dépassé leurs vaisseaux et se sont tissées l’une autour de l’autre
Ni tout un esprit ni l’autre, une fusion des deux.
Ainsi, lorsqu’ils se séparèrent, ils laissèrent chacun un morceau d’eux-mêmes et empruntèrent un morceau de l’autre
Puis la flamme s’éteint et deux âmes retournent dans leurs corps
Les bras étroitement liés l’un contre l’autre.
Doux baisers provisoires
Les corps brillent et scintillent
Rire alors
Nerveux à l’intimité.
Qui a besoin de paroles, quand on peut parler avec le Feu ?