Oser fraternellement | Histoires luxuriantes

Nous étions seuls dans la maison pour la nuit, il commençait à faire nuit dehors quand mon frère est entré nu dans la pièce. « Il est temps de payer mon frère, souviens-toi que je reçois les travaux complets de toi. »

« D’accord, » dis-je. « Juste ici ou en haut dans ta chambre ?

« En haut, bien sûr, je veux être à l’aise pour le sexe. Suivez-moi », dit-il. Alors je marche derrière lui, putain il a le plus beau cul et l’odeur la plus douce. Je voulais juste attraper son cul et enfouir mon visage dans son cul pendant que je le mange. Tendant la main, il dit: « Non, pas encore, tu vas d’abord te branler pour moi et manger ton propre sperme, puis tu pourras me manger le cul, puis me branler et me sucer, puis je baise ton petit cul serré. Je pense que je change d’avis, nous allons utiliser le lit de maman et papa. »

Debout à côté du lit, il dit: « Déshabille-toi, allonge-toi et branle-toi pour moi. »

Après s’être déshabillé, il tend la main et me caresse la bite. « Je change d’avis, je vais te branler et te nourrir de ton sperme. »

Assis à côté de moi, les jambes croisées, il masse ma bite jusqu’à ce qu’elle devienne dure, il voit le liquide pré-éjaculatoire et l’essuie avec son doigt, le pointe vers ma bouche et dit « lèche-le ». Il a fait ça une demi-douzaine de fois en commentant à quel point ma bite était dure, et elle palpite et devient vraiment chaude. Puis me surprenant, il incline la tête et lèche ma tête de bite puis le long de la hampe, remontant la hampe, il prend ma tête de bite dans sa bouche et commence à me sucer. Après plusieurs minutes, il enlève sa bouche, s’accroupit sur ma bite, la tient immobile puis se baisse lentement.

Gémissant, disant « oh oui, ta bite est belle », et quand il touche le fond, il reste assis là, serrant les muscles de son cul et tourbillonnant avant de glisser vers le haut puis vers le bas. Accélérant lentement le rythme, il utilise son trou du cul pour me traire de tout son doux jus d’amour tentant. Juste au moment où je suis sur le point de jouir, il se penche en arrière pour saisir mon arbre de bite et me branle tout en chevauchant ma bite. De sa main libre, il tire et tord mes mamelons en disant : « Détends-toi, je te baiserai quand je serai prêt jusque-là, je pourrais te baiser encore quelques fois. »

Les frères osent continuer.

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