Lentement, très lentement, ai-je ouvert mon cœur gardé
Cicatrices, blessures et blessures, tu as juste fait fondre
Prudent et effrayé mais apaisé par ta magie noire
Faire confiance, me perdre en toi et le délice de notre jeu
Oh la joie que tu as apportée, des sourires constants, un bonheur tremblant
Je t’ai tout donné, consommé dans notre luxure et y croyant plus
Aucune limite à l’expression, toujours frissonnant vers l’abîme succulent
ma vie apparemment complète, l’amour pur à travers mon cœur a rugi
Les yeux verrouillés, les âmes se touchant, s’élevant toujours vers de plus hauts sommets
nos cris joints alors que les jambes tremblent avec une libération gratifiante
les cœurs s’enflamment à travers un festin vorace de délices flamboyants
puis la douleur, aussi lentement, très lentement, que ton amour a cessé
Des indices croissants, mon cœur remarquant chaque petit indice, mais le nier, j’ai essayé
Être gentil tout en s’obstinant à s’accrocher au paradis que tu m’as dévoilé
elle est juste occupée, sa passion reviendra, mais malheureusement, ton amour est mort
Hurlant, puis silencieux d’incrédulité, le paradis que j’avais cherché ne devait pas être
Mon esprit insensé, mon âme assombrie, mon cœur si trompeusement trahi
Le véritable amour est un mirage, juste du sable coulant entre mes doigts serrés
J’ai toujours envie de ton toucher, une odeur, un goût, des rappels instantanés de tout ce que j’ai payé
Une prise désespérée mais le véritable amour refusé, la malédiction sur mon cœur persiste pour toujours