L’oasis | Histoires luxuriantes

Renna s’allongea dans la piscine, c’est un liquide frais qui apaisait son corps chargé de sexe. Vortan dormait bruyamment sur la berge, son gros sexe toujours pointé vers le ciel, les mains derrière la tête. Il ronflait et Renna riait doucement alors qu’elle flottait dans le magnifique lagon en pensant à la dernière heure d’amour avec lui.

Les amoureux avaient navigué sur leur esquif à trois roues à travers les sables ocres brûlés du désert du Diable Bleu pour atteindre l’oasis luxuriante de Quilan Mavet où les couples nouvellement mariés de son village étaient toujours allés consommer leur couple. Elle aimait la façon dont il la séduisait, apportant des fruits et du vin, et des tapis à étendre à l’ombre de la canopée des palmiers du désert. Renna ne ressentit bientôt que la chaleur de son désir pour Vortan alors qu’il jouait avec son corps exquis.

Vortan était un amant vorace, elle pensa à son corps massif au-dessus du sien, son pénis puissant remplissant son vajayjay humide et affamé. Son corps picotait sauvagement de tension érotique, elle pouvait encore le sentir en elle, sa tige chaude glissant le long de son canal d’amour, incitant des impulsions érotiques le long de voies excitées vers son cerveau.

Ils étaient faits l’un pour l’autre, lui un guérisseur connaissant toutes les parties intimes de l’être humain. Elle était une femme sage et enseignante des tribus. Leur désir l’un pour l’autre a alimenté de nombreuses nuits d’amour torrides avant de se présenter devant les anciens du village et de déclarer leur lien pour la vie. Et par les dieux des sept cieux, l’homme savait comment faire plaisir à une femme, pensa Renna et remercia Karu la déesse de l’amour pour un mari tendre et aimant.

Elle flotta paisiblement pendant un moment, puis l’entendant remuer et se réveiller, elle se tourna vers la rive du lagon et sortit de l’eau. Voyant sa bite encore turgescente s’élever vers les cieux, Renna s’avança vers son amant, s’agenouilla sur lui et l’enveloppa de sa chatte, ravivant les feux dans ses reins. Il bougea sous elle, puis ses yeux s’ouvrirent.

« Essaies-tu de réveiller les morts, mon amour ? il lui a demandé.

« Je pense que j’ai votre élixir de vie en moi en ce moment », a-t-elle ronronné. « Assurons-nous de bien faire les choses, une fois de plus, mon mari. »