Le Salon | Histoires luxuriantes

Je me déplace à travers la routine par la mémoire musculaire. Permis de conduire, carte d’embarquement. Sacs sur le convoyeur, franchissez le détecteur de métaux. Rassemblez mes bagages et dirigez-vous vers le salon du club de la compagnie aérienne. C’est le milieu de la matinée et j’ai envie d’une bonne tasse de café avant de me diriger vers la porte.

Elle attire mon attention peu de temps après que je m’installe. Bien qu’elle aussi soit assise, je peux dire qu’elle est à la fois grande et élancée. Sa robe bleue courte remonte bien sur ses cuisses bronzées et toniques. Elle est autrement habillée de manière conservatrice, et je suppose qu’elle, comme moi, voyage pour affaires. Ses cheveux noirs tombent sur ses épaules. Je pense qu’elle a entre le milieu et la fin de la quarantaine. Quelques kilomètres, comme moi, mais bien conservés.

Mais il y a quelque chose de plus. Quelque chose d’incontournable. Ou alors mon imagination galopante et coquine veut le croire. Son visage respire la sexualité. Je l’étudie attentivement et sens quelque chose remuer en moi.

Elle me regarde, me rattrape. Je soutiens son regard et ses yeux se croisent avec les miens pendant un long moment. Elle retourne à son téléphone, tapotant attentivement des SMS ou des e-mails. Je suis intrigué.

Elle se lève et se dirige vers les toilettes. Elle est en effet longue et élancée. Je regarde ses fesses serrées traverser le salon avant de disparaître.

Quelques minutes plus tard, elle réapparaît, café à la main. Elle regarde dans ma direction et sourit brièvement avant de s’asseoir à nouveau. Je lui renvoie le plus bref des sourires.

La danse continue. Regards occasionnels dans la direction de l’autre. Les regards deviennent brefs, puis plus longs. Elle repousse joyeusement ses cheveux derrière une oreille.

Une demi-heure passe. Je note l’heure – peut-être quinze minutes et je devrai me diriger vers ma porte. Je jette un coup d’œil à nouveau. Ses jambes sont décroisées maintenant, et oh si légèrement écartées. Elle me tient dans un regard perçant alors qu’elle se relève une fois de plus. Elle se tourne intensément vers moi au passage et me regarde à nouveau directement avec une intensité effrayante. Elle se dirige vers le couloir des toilettes. Au milieu de la pièce, elle se retourne et me regarde par-dessus son épaule.

Je n’ai pas besoin d’autre invitation. Je me dirige dans sa direction, la suivant à distance, tournant dans le couloir. Une porte à droite est marquée « toilettes pour tous les genres ». Je m’arrête momentanément avant d’essayer la poignée. Il cède et j’ouvre la porte. Elle est appuyée contre le comptoir. J’entre rapidement dans la pièce et verrouille la porte derrière moi.

Mes doigts sont maintenant dans ses cheveux et je me penche et pose mes lèvres contre les siennes. Un doux gémissement s’échappe d’elle alors que j’attrape une poignée de ses cheveux près de la base et tire en arrière, exposant son cou. Un doux baiser, suivi d’une morsure douce mais ferme. Elle fond. J’attrape ses hanches, guidant l’ourlet de sa jupe vers le haut alors que je la retourne. Je desserre rapidement ma ceinture et dégrafe mon pantalon. Ils me tombent aux chevilles. Je la penche sur le comptoir et libère ma bite maintenant engorgée par l’ouverture à l’avant de mon boxer. D’une main, je tire sa culotte d’un côté tandis que l’autre positionne ma tête contre son ouverture. La chaleur qui émane d’elle est intense, et la pièce est imprégnée d’une odeur de sexe.

Je la maintiens dans cette position et dézippe le haut de sa robe, la guidant sur ses épaules. Mes mains se déplacent vers ses seins. Je les juge comme étant un 34B parfait. Je tire le haut de son soutien-gorge vers le bas, exposant les mamelons. Ils sont engorgés et dressés, et alors que je les ajuste, elle laisse échapper un gémissement. J’écarte ses cheveux, embrasse sa nuque en glissant ma bite en elle.

Elle est trempée. Un hoquet émane d’elle. Je pousse jusqu’à la garde et je tiens. Sa respiration est saccadée. Je commence à entrer et sortir lentement. Elle enveloppe mon sexe étroitement. La sensation est exquise. Mon animal intérieur prend le dessus et je commence à la baiser brutalement, son corps cognant contre le comptoir à chaque poussée.

Soudain je me retire. Elle pleure doucement et je la fais tourner rapidement et la pose sur le comptoir. Elle écarte les jambes alors que je la tire vers le bord et me glisse à nouveau en elle. Nous croisons les yeux alors que j’accélère. L’urgence dans son regard me dit tout ce que j’ai besoin de savoir. Je sens mon orgasme approcher et l’embrasse passionnément. Nos langues dansent alors que je me libère, vidant mes couilles en elle. Elle a des spasmes involontaires, ses jambes tremblent violemment. Je continue à l’embrasser pour étouffer ce qui serait sûrement des cris. Je suis temporairement aveuglé par l’intensité de mon orgasme.

Je reste en elle, profondément à l’intérieur. Mes mains encadrent son visage alors que nous nous regardons, quelques centimètres nous séparant. Finalement, je commence à m’adoucir et à me retirer. Nos fluides corporels s’échappent d’elle sur le sol. Je ne prends pas la peine de me nettoyer, voulant la savourer sur moi tout le long du chemin du retour. Elle aussi repositionne simplement sa culotte pour attraper le reste du sexe qui suintera d’elle lors de son vol. Je remonte mon pantalon et referme sa robe. Elle arrange ses cheveux, se retourne et m’embrasse passionnément.

La lumière danse sur sa bague en diamant alors qu’elle atteint la poignée. Elle sort rapidement en se retournant une dernière fois par-dessus son épaule.