Le bord | Histoires luxuriantes

Son beau visage et ses yeux de chambre,
Ils donnent à ma convoitise une raison de s’élever,
J’ai grand besoin de lui ;
Il voit certaines choses que les autres manquent,
Je rêve de lui, il vole un baiser,
Ce baiser m’enflamme.

Nous textons et discutons avec une prose intelligente,
Désir pour lui, j’espère qu’il sait,
J’aime tellement le flirt;
J’ai mal pour lui, est-ce qu’il est pour moi ?
Juste où cela mène, j’espère voir,
Mes pincements, ils piquent ma chemise.

Il veut connaître mes sentiments maintenant,
Pour les garder en sécurité, il fait un vœu,
La sincérité, il saigne.
Nous chuchotons des vérités dans la nuit,
Il construit ma confiance, c’est tellement bien.
Je vais suivre où il mène.

Sa langue, elle me transperce comme une épée,
Ses doigts grattent l’accord parfait,
Il m’attire vers la corniche ;
Je suis assis au sommet de la falaise, oh oui,
C’est une douleur agréable, je dois l’avouer,
Pour me garder sur le bord.

Révélant ce qu’il y a en moi,
Ses caresses aimantes me font voir,
Les plaisirs de la vie m’ont manqué.
Les possibilités s’enchaînent,
Oh mon, oh mon, je ne peux pas te dire,
Les parties que ses lèvres ont embrassées !

Le bord que je trouve avec l’aide de lui,
Je monte et descends et me relève encore,
Puis attardez-vous au sommet,
Sa main tient la mienne, mes douleurs sont nues,
Les yeux fermés, il jure de m’y emmener,
je lui en supplie, Ne vous arrêtez pas !

J’ai besoin de toi maintenant, mes lèvres supplient,
Les sommets que je grimpe quand il me baise,
Ne sera jamais en reste;
Ma chatte serre sa bite avec besoin,
J’aspire à sentir sa semence jaillir,
Il est temps que nous jouissions ensemble.

Enfin, j’ai trouvé mon âme sœur,
Une fois brisées, les vies solitaires sont maintenant entières,
Doux homme, nous sommes pareils;
Oh, comme tu me manques quand tu dors,
Je te prie, mon cœur à garder,
Ne t’éteins pas, flamme de l’amour.