Ardennes fanfaronnades dans le bar
Ses atouts visibles de loin
Énorme bite qui se balance librement
Frappant bruyamment sur son genou
Cojones qui honorerait un taureau
Fertile, viril et plein de foutre
Sa mission d’imprégnation
N’importe quelle salope qui serait son rendez-vous.
Les seins se sentaient vraiment sales
Excitée, désespérée, plutôt coquette
Sa poitrine accrochée pour impressionner
À peine contenue dans sa robe
Perchée elle était sur son tabouret
Un bijou salope, putain et dévergondée
Surveillant chaque jock qui passe
A la recherche d’une bite complaisante
Et voilà, nous l’avons, nous le savons tous
Comment cette histoire ça doit aller
Un bref flirt autour d’un verre
Passer rapidement aux synchronisations labiales
Doigts explorant tout à fait spontanément
À ces parties si à peine cachées
Ses doigts caressant sa bite
Douze pouces de long et ultra-épais
Halètements de plaisir, un rire impressionné
Penché en avant, un mouvement d’épaule
Haletant à bout de souffle dans son oreille
Besoin douloureux rendu limpide
Ses doigts explorant sa cuisse
Poussant un cri gémissant
Sa chair laiteuse s’étend largement
Voulant, désireux, pour cette balade
Le parfum de la luxure épais dans l’air
Ses doigts pénètrent sans souci
Le tissu de la culotte est déchiré
Un début agité pour sa virée
Se frottant contre lui avec ses seins
Son membre gonflé qu’elle moleste
Tremblant sous sa caresse ferme
Désespéré maintenant d’avoir accès
Désolé lecteur je suis tout agité
Mes mots dont je crains commenceront à bégayer
Corps enlacés, joints comme un seul
Adhésif dans leur plaisir lascif
Sucer le visage comme si je n’étais pas nourri
Un prélude dans leur danse au lit
Une masse de joie se tortillant et se tordant
Plaisir hédoniste assez insouciant
Sa bite est sortie, c’est dans sa main
C’est vraiment une glande impressionnante
Ses ongles qu’ils ne rencontreront pas
Sa bouche s’attache à sa tétine
Aspirant, suçant ses pointes raidies
Doigts battant sous ses hanches
Alors qu’elle tire sur sa hampe
Une exposition impressionnante d’artisanat
Elle halète maintenant à chaque poussée
À tout moment, elle pourrait brûler
Jaillissant de sa main qui claque
Son corps lui appartient maintenant
Les yeux révulsés et les seins tremblants
Son orgasme se brise, un frisson explosif
Avant qu’elle ne tombe à genoux
Le regarde avec des supplications aux yeux de biche
« Oh, laisse-moi siroter ta viande.
Cela rendra ma nuit complète.
D’avoir mes lèvres si complètement étirées
Mon souhait, j’espère, n’est pas trop tiré par les cheveux. »
Sans un mot il la pousse vers le bas
Ses lèvres encerclant sa couronne lisse
Alors qu’elle gargouille de joie
Un acolyte pénien déterminé
Descendre avec une intention claire
Ses lèvres commencent leur descente rapide
Bave et salive claire et brillante
Sa bite tremblante dure et s’épaissit
Enterré maintenant dans sa gorge
Sa supplication qu’elle consacre
Sa semence brûlante sa récompense
Sa bouche, son ventre une gourde à foutre.
« Excusez-moi, Mademoiselle, ses dernières commandes au bar. »
Je lève les yeux des mots rampant devant moi sur le papier ligné pour le trouver, jeune et marqué par l’acné, sa voix grinçant nerveusement alors qu’il donne l’information. Je le tiens là devant moi avec un regard avant de laisser mes yeux errer sur la peluche corporative peu éclairée du bar de l’hôtel. Désolé. Décousu. Un endroit pour les âmes perdues et celles qui cherchent désespérément à tuer quelques heures avant de monter dans nos cabines identiques, impersonnelles et sans style pour une nuit de sommeil sans joie entre des draps empesés.
« Je vais prendre un gin tonic. Un double. »
Mes yeux dérivent vers la page et mon gribouillis gambader, déterminé à reporter l’inévitable.