La Bibliothèque | Histoires luxuriantes

Quelle journée terne typique; levé à 8h, saut dans la douche, cornflakes au lait presque périmé, deux gorgées de café qui me brûlaient le toit de la bouche. Mon portable sonne, et c’est un texto de mon meilleur pote : devinez qui est de retour en ville et veut vous rencontrer ? Edouard.

Edward est grand et maigre, pas trop musclé, à la peau pâle, avec des cheveux noirs, des yeux hypnotisants, une mâchoire forte et un sourire adorable. J’ai perdu mon innocence avec lui il y a des années. Je dois l’impressionner, lui montrer que je ne suis pas cette petite fille timide qu’il a laissée derrière lui. Cette tenue ne fera jamais l’affaire, maintenant que dois-je porter ? Où nous rencontrons nous? La bibliothèque? Pourquoi la bibliothèque ? Ne me dites pas qu’il s’est adouci et qu’il veut déclarer son amour éternel et me lire de la poésie ! Je suppose que cela compte la petite robe noire. Je sais qu’il a un faible pour les collants, mais c’est trop normal. Ça doit être des bas et ma robe baby-doll. C’est juste un peu trop court quand je me penche !

J’attrape mon sac et ouvre la porte. Je sens la brise remonter ma robe alors que je marche vers la voiture. Ma robe remonte alors que je me glisse dans le siège en cuir. Je baisse les yeux pour voir mes lèvres fraîchement rasées à travers ma culotte en dentelle noire. Quiconque regarde par la fenêtre de ma voiture aura une belle vue ! Je me sens aussi bien que l’enfer, l’excitation de la journée à venir me fait tourner la tête et mon cœur bat la chamade. J’ajuste ma robe.

Ce doit être la première fois que ça ne me dérangerait pas de me faire arrêter pour un excès de vitesse. Je peux imaginer l’officier de police me demandant de sortir de la voiture, me penchant sur la voiture et me baisant fort par derrière sur le métal brûlant ! Quoi qu’il en soit, gardez mon esprit sur la journée à venir. Rien que d’y penser, je me mouille, mieux vaut ne pas rester coincé dans les embouteillages.

Je m’arrête à la bibliothèque et sors de la voiture. La brise est comme de la glace contre mes lèvres humides. Sans oublier d’ajuster ma robe, j’entre résolument dans le bâtiment et me dirige directement vers le troisième étage. Alors que je sors de l’ascenseur, tout mon corps est gêné. Je suis sûr que tout le monde peut sentir mon désir, même au-dessus de mon parfum. L’odeur du sexe est dans l’air. Je devrais peut-être m’occuper de moi avant de le rencontrer.

Je me dirige vers les toilettes et m’enferme dans un coin cubique, une jambe sur le siège des toilettes et ma robe babydoll retroussée autour de ma taille. Je peux sentir mon clitoris palpiter sans même y penser. Ma main se glisse entre mes jambes et je me sens dégouliner. Je peux me sentir dans l’air. Je ferme les yeux et me plonge dans les chauds frissons qui parcourent mon corps. J’ajuste ma robe, je me ressaisis et j’essuie le jus de ma douce chatte derrière mes oreilles et dans mon cou. Je parie qu’il se souviendra de cette odeur.

Je sors des toilettes, et je le vois tout de suite, assis à une table. Mon, comment il a mûri; barbe, chemise blanche avec une cravate desserrée, grandes épaules larges, il est devenu une bête d’homme !

Je m’avance pour le saluer. Il porte ma main à sa bouche et l’embrasse. Il tient ma main sur son visage un peu trop longtemps. Sentant mes doigts, il commence à les sucer. Je regarde à ma gauche. Il y a un petit endroit calme et isolé. Est-ce que j’ose ?

Nous ne nous sommes même pas encore dit un mot, quand il m’attire soudainement dans une étreinte serrée et m’embrasse, sa main agrippant fermement mes fesses. Alors que nos lèvres se rencontraient, nos langues s’entremêlaient, je pouvais sentir son érection pousser dans mon ventre. Je l’entraîne dans une allée remplie de livres. Il me retourne et commence à embrasser mon cou. Ma main se tend vers l’arrière, dézippant son pantalon et glissant ma main à l’intérieur, tirant sur sa bite chaude et brûlante. Ses mains se promènent librement sur tout mon corps. Je frissonne alors qu’il caresse mon clitoris et me balance, me calant sur le rebord de la fenêtre, écartant mes jambes.

Je halète en faisant l’expérience de sa bouche sur ma chatte. Je maintiens instinctivement sa tête en place pour la première fois alors qu’il lèche mon clitoris. Il a mis ses bras sous mes jambes et les a écartées, pénétrant de plus en plus fort avec sa langue, plaçant deux doigts en moi, les faisant doucement tourner d’avant en arrière pendant que sa bouche prend mon clitoris. Il ne fallut pas longtemps avant que je soulève mon cul, me frottant contre sa bouche, ses mains me tenant en place pour qu’il puisse recevoir tout mon sperme dans sa bouche. Je veux crier. En me mordant la lèvre si fort, j’en ai presque tiré du sang. Mon corps bouge dans de trop longs spasmes de plaisir. Il enlève ses doigts, dégoulinant de mon sperme, et les place dans ma bouche. Je les lèche pour les nettoyer.

Il me soulève du rebord de la fenêtre, me retourne et me penche en avant, attrapant mes cheveux et tirant ma tête en arrière. Il se penche et me chuchote à l’oreille : « Tu as été une fille très, très coquine Gabriela », sa voix m’entourant de toutes les directions.

Je sens ses mains froides prendre mes seins en coupe, ses doigts travailler autour et pincer mes mamelons. Mes genoux commencent à trembler. Si je pouvais crier, je le ferais, mais avant que je puisse émettre un son, il commence à me bâillonner avec sa cravate, la fourrant davantage dans ma bouche alors qu’il s’enfonce en moi.

J’aime être pris par derrière. Il se sent si grand et profond. Il attrape mes hanches et commence à pomper en moi, lentement d’abord, puis de plus en plus vite ; ah la sensation ! J’en ai besoin depuis si longtemps. Il enfonce sa bite dure dans et hors de moi. Je me perds dans la sensation.

Mmm, j’adore ça.