Juste un jour de plus au bureau

C’était vraiment juste un autre jour au bureau. Je venais de terminer une importante présentation sur laquelle je travaillais depuis quelques semaines. Ça s’est bien passé et je commençais juste à me détendre avant le suivant. C’était en milieu de matinée par une chaude journée d’été. En été, j’aime porter des bas, rien à propos de se sentir sexy, vous comprenez. J’aime juste sentir un peu de mouvement d’air frais par une journée chaude. Ce jour-là, je portais des bas autofixants. Mes jambes sont assez fines et l’une d’elles n’arrêtait pas de tomber un peu.

J’étais juste en train de le relever quand j’ai remarqué que Jack me jetait un coup d’œil. Il n’a pas vu que je le voyais, ses yeux étaient ailleurs. Maintenant, Jack était un peu un spectateur et quelques années mon cadet, plus que quelques-uns en fait. Cela n’avait pas d’importance cependant, j’étais juste heureux d’avoir un regard de sa part. Comme je l’ai dit plus tôt, j’avais un peu de temps devant moi. Je passais juste le temps avant le prochain gros projet. Alors que j’étais assis à mon bureau, j’ai commencé à rêvasser. J’imaginais que je me dirigeais vers son bureau et que je me penchais dessus pendant que je soulevais ma jupe. Il me prenait alors par derrière tout en me serrant les seins.

Personne d’autre dans le bureau ne le remarquerait bien sûr. Ce serait juste une chose naturelle. Je me souviens d’être allé au zoo une fois. Dans l’un des enclos se trouvait une tribu de babouins. Le mâle alpha se pavanait juste avec une érection. En croisant une femelle, il l’a juste prise, pas de boîte de chocolats ni de bouquet de fleurs. Il l’a juste prise et est passé au suivant. Tous les autres babouins n’y prêtèrent aucune attention ; ils ont juste continué comme d’habitude. Même sa conquête revient à cueillir des puces dans le cul d’un autre babouin. Rien de tout cela ‘Est-ce que c’était bon pour toi ?’ absurdité.

J’autorisais mes rêveries à me mouiller un peu. Est-ce que Jack serait mon babouin pour la journée ? J’ai attendu que la femme à côté de Jack se dirige vers la machine à café. Debout pour ajuster mon bas, j’ai soulevé ma jupe un peu plus haut que nécessaire. Du coin de l’œil, je pouvais voir Jack le regarder attentivement. Puis son œil a croisé le mien ; Je lui ai juste fait un sourire coquin. Il est devenu un peu rouge et a rapidement détourné le regard. C’était l’heure du café, le reste du bureau se rassemblait maintenant autour des différents distributeurs automatiques. Jack est resté assis.

Je me suis levé et j’ai marché vers lui, j’aurais besoin de le dépasser pour quitter le bureau. Alors que j’arrivais à son bureau, nous avons établi un contact visuel. Je lui lançai un regard qui disait, suis-moi. Je n’étais pas sûr qu’il comprenne bien le langage corporel, mais j’ai tout de même fait de mon mieux. J’ai poussé la porte battante pour entrer dans le couloir, j’ai fait environ cinq ou six pas et je me suis arrêté un moment. Entendrais-je la porte s’ouvrir derrière moi ? Je l’ai certainement fait, il était juste là. Je commençais à m’exciter, j’avais trouvé mon babouin. Je suis entré dans le débarras avec lui sur mes talons.

Sans un mot, je le regardai dans les yeux, soulevai ma jupe et me penchai face contre terre sur des cartons de papier à écrire empilés. Je pouvais l’entendre défaire son pantalon avant de baisser ma culotte. En quelques secondes, il était en moi. C’était sacrément magnifique, juste du sexe brut. Sa femme était très enceinte à l’époque, il n’en recevait donc pas à la maison. Je n’avais pas une telle excuse, à part me sentir excité. Il avait ses mains sur mes hanches; Je les ai enlevés et les ai placés fermement sur mes seins. Ma petite rêverie était en train de se produire.

Je ne vais pas mentir et dire que c’était le meilleur sexe de tous les temps, ce n’était pas le cas. Là encore, ce n’était pas censé l’être, juste deux personnes adultes appréciant un peu le désir primitif des babouins. J’ai commencé à jouir alors qu’il jouissait. C’était comme s’il en avait des gallons, et je veux dire des gallons. Je ne peux pas être sûr de quand il a eu son dernier rapport sexuel mais j’ai supposé que c’était un certain temps. J’ai dû emprunter un maxi pad à l’une des filles. Je lui ai dit que j’avais quelques jours d’avance. Je pouvais à peine dire que j’étais pleine de la cyprine de Jack. Nous n’avons jamais dit un mot avant, pendant ou après. Juste un regard complice, c’était tout ce qu’il fallait.

Le lendemain matin, j’étais un peu tôt. Je chérirai à jamais le regard sur le visage de Jack lorsqu’il a trouvé deux babouins en plastique sur son bureau. Il a regardé, j’ai juste souri. A partir de ce jour j’ai eu mon propre petit babouin de bureau. Nous n’avons jamais parlé, et tous les autres babouins du bureau ne l’ont jamais remarqué. Tout allait bien dans le monde.