Journal d’Ali – Page 62

Cher journal,

J’ai du mal à m’endormir. Il est 2 heures du matin, et pendant les trente dernières minutes, tout ce que j’entends, c’est ma mère et son petit ami en train de faire l’amour dans la pièce voisine. Elle crie quand elle a un orgasme. Depuis qu’elle a rencontré Eric, ça continue tout le temps. Ils ont un appétit insatiable l’un pour l’autre et semblent apprécier le corps de l’autre. Ce n’est pas la première fois que leurs ébats m’empêchent de dormir. Quand je les entends, je fantasme que c’est moi au lieu de ma mère. Même s’il est assez vieux pour être mon père, je le veux. Parfois, je rêve à quoi pourrait ressembler sa bite. Quand j’ai cette envie, je me masturbe. En ce moment, je suis inondé de désir.

Eric vit avec nous. Il est un officier de l’armée à la retraite et est à la maison pendant la journée. Quand ma mère va au travail, il a une routine quotidienne. Chaque matin, il court cinq milles pour rester en forme puis va nager pour se rafraîchir. Il ne le sait pas, je le regarde faire des longueurs dans notre piscine. Quand il enlève sa chemise, son corps est bronzé et musclé, et je peux voir le contour de sa bite dans son maillot de bain. Il ne me faut pas longtemps pour être submergé par la luxure. L’idée d’une matinée de passion avec lui est excitante. Parfois, je me fais plaisir en regardant depuis la fenêtre de ma chambre. Chaque fois que je me masse, je ferme les yeux et le fantasme commence.

Après qu’Eric ait sauté dans la piscine, je sors vêtue de mon peignoir de bain en éponge. Quand il me remarque, ma robe s’ouvre et tombe au sol révélant mon corps nu. Je ne me contente pas de sauter dedans. Au lieu de cela, je descendrai les marches de manière séduisante dans la partie peu profonde, en faisant chaque pas lentement et avec détermination. Je lui laisserai le temps d’assimiler ce que j’ai à offrir. Je sais que le froid de l’eau va me donner la chair de poule et que mes mamelons vont durcir.

Il ne pourra pas me résister alors qu’il nage dans ma direction. Je m’appuie contre le bord de la piscine et il prend un mamelon dans sa bouche. La succion et le mordillage alors qu’il serre et joue avec moi font frissonner mon corps. Je peux sentir son érection tendre contre son Speedo qui a besoin d’être libéré. Il le laisse tomber au bord de la piscine. Maintenant, sa bite est libre pour que je puisse en profiter. Je le caresse, imaginant comment il va se sentir alors qu’il m’empale.

Il me sort de la piscine et tapote mon corps avec une serviette pour le sécher. Sa main se tend pour me guider à travers la maison jusqu’à ma chambre. Tant de pensées me traversent l’esprit. Vais-je crier comme ma mère ? Veut-il quelqu’un de plus expérimenté ou peut-il profiter du corps d’un adolescent de dix-neuf ans ? Puis-je satisfaire son appétit féroce ?

Quand nous arrivons dans ma chambre, il me laisse là à attendre alors qu’il disparaît juste une minute. Quand il revient, il a une variété de contraintes et de jouets de la chambre de ma mère. Il me bande les yeux et m’emmène dans mon lit. Ses mains me placent doucement sur mon dos. Mes bras sont étirés à leurs limites alors qu’il attache mes poignets aux montants du lit. Il les resserre pour restreindre tout mouvement. Puis, il écarta largement mes jambes exposant ma zone intime. Chaque cheville est serrée comme mes bras. Je suis privé de mouvement. Il contrôle totalement mon corps.

J’entends un mouvement alors qu’il grimpe sur le lit. Je peux sentir qu’il est entre mes jambes. Puis, un doigt touche légèrement mon clitoris. Ou est-ce le bout de sa langue, me taquinant, l’agitant, faisant couler le sang ? Je gémis de satisfaction. Il prend tout le clitoris dans sa bouche, le suce, le frappe sauvagement avec sa langue. Mes membres se tendent alors que je me débat dans un spasme incontrôlable. Je crie fort et je le supplie de me monter.

Il enlève le bandeau et se positionne pour me baiser. Son sexe effleure l’ouverture de mes plis. Sa main m’écarte. Je ressens la ruée de mes entrailles sachant ce qui est sur le point d’avoir lieu. Il plante la bite épaisse en moi. Je cherche de l’air alors qu’il se glisse à l’intérieur. Il pince mes deux mamelons et leur donne une torsion ludique alors qu’il me pénètre. Ses doigts se refermèrent sur eux, ne les relâchant pas. La sensation crée une rage dans mon corps. Je deviens incontrôlable et comme ma mère, je hurle d’euphorie.

Ses doigts libèrent enfin mes mamelons. Ils sont gonflés par l’entraînement qu’il leur inflige. Il attrape mes épaules, me tenant au sol, alors que son pulsion devient plus intense. Nous haletons tous les deux comme des chiens sauvages. Je le sens construire. Alors, sa libération me remplit. Sa chaleur en moi est si satisfaisante. J’adore ça, maintenant je sais que je peux le captiver.

Soudain, mon fantasme est interrompu. Je suis distrait par les cris qui continuent de provenir de la chambre de ma mère. Est-ce qu’il l’a attachée au lit? Est-ce que sa bouche lui fait plaisir? Ou, est-il profondément enfoui en elle, provoquant son explosion? Est-ce qu’il la remplit comme il l’a fait pour moi dans mon fantasme ? Je suis tellement jaloux d’elle, je veux aller voir. M’inviterait-il dans leur lit ? Pourrais-je faire ça ? Certaines choses sont mieux laissées à mon imagination. Maintenant, je suis confus pour demain. Dois-je agir sur mon fantasme, ou dois-je le garder refoulé en moi ?

Eh bien mon journal, il est tard et j’ai un cours tôt le matin. Je dois essayer de dormir un peu. Seul le temps dira si j’ai le courage de donner suite à mes désirs. Je vous ferai savoir. Bonne nuit pour l’instant.