J’ai vraiment besoin de ça ! | Histoires luxuriantes

La tension dans ses épaules, son corps et son esprit était écrasante sur le long trajet de retour après la semaine la plus difficile dont il se souvenait. Les affaires étaient pas allait bien, et chaque jour a vu un flot incessant d’arguments et de réunions qui se sont transformés en plus d’arguments sur ce qu’il fallait faire à ce sujet.

Il avait besoin de ce week-end pour se libérer de ce nuage qui pesait sur lui pour sa santé mentale et il n’y avait qu’un seul moyen d’y parvenir ; un voyage prolongé sur le genou de sa femme pour une longue et dure fessée. Rien ne pouvait chasser toutes les autres pensées et concentrer son esprit sur autre chose comme une raclée fulgurante et nue, et sa femme savait exactement comment lui infliger la délicieuse douleur dont il avait besoin avec sa main et, si nécessaire, une brosse à cheveux. Que la piqûre, la chaleur et la douleur ne puissent être ignorées était évident, mais un réel la fessée, pas celle qu’il avait demandée, ajoutait l’élément de soumission complète au testament de sa femme et elle s’assurait de garder cela au premier plan dans ses pensées.

Et puis il y avait le « remerciement pour la fessée » ; une dévotion complète à son plaisir comme gratitude pour le cul brûlant qu’elle lui avait donné. Ses doigts et sa langue, et souvent tout son visage, positionnés dans cet endroit magique entre ses cuisses travaillaient pour l’amener à de multiples orgasmes fracassants alors que son éjaculation explosive inondait son visage.

Mais comment a-t-il pu l’amener à le faire ? Il ne pouvait pas simplement demander ce genre de punition car elle s’attendait à ce que de tels plaisirs se développent de manière organique et non simplement demandés comme si elle fournissait un service. Il n’avait pas la patience ou l’état d’esprit pour être ‘méchant’ aujourd’hui, du moins pas aussi méchant qu’il aurait besoin de l’être pour solliciter le genre de traitement dur dont il avait besoin. Il n’aurait qu’à la convaincre.

Puis il se souvint qu’elle avait appelé aujourd’hui juste pour voir comment il allait, et il l’avait repoussée. Le moment était terrible car il venait de licencier un employé de confiance dans l’intérêt de réduire les coûts et se dirigeait vers une confrontation avec quelqu’un avec qui il ne s’entendait pas dans un bon jour. Le fait qu’il lui ait à peine parlé lorsqu’elle l’a appelée peut jouer pour ou contre le résultat souhaité lorsqu’il est rentré à la maison.

Le stress était toujours pesant alors qu’il se garait dans le garage mais avait déjà diminué dans une certaine mesure alors qu’il imaginait sa femme le fesser aussi fort qu’elle le pouvait, s’assurant que la douleur était la seule chose dans son esprit. Alors qu’il sortait de la voiture et se dirigeait vers l’intérieur, il ne se souvenait pas d’avoir été aussi nerveux dans cette situation pendant très longtemps. ‘J’ai vraiment besoin de ça !‘ pensa-t-il en rassemblant l’engagement nécessaire pour la convaincre de lui donner une fessée sévère.

« Chéri? » cria-t-il en entrant par la porte du garage.

« Ici, bébé ! » répondit-elle alors qu’il traversait la cuisine, capable de déterminer d’après la direction de sa voix qu’elle était dans la tanière.

Il s’arrêta net dans son élan alors qu’il entra dans la pièce, captant une vision qui amena à la fois un petit sourire sur son visage et des larmes dans ses yeux. Ne portant rien d’autre que sa lingerie noire préférée et paraissant plus belle que jamais, elle se tenait au milieu de la pièce à côté de le tapotement de chaise le brosse à cheveux contre sa paume de manière suggestive.

« Je t’aime donc beaucoup! » dit-il alors qu’elle s’asseyait et tapotait sa cuisse en guise d’invitation, son autre main tendue comme une invocation à ses côtés.

« Je sais. Baissez votre pantalon. Ça va faire mal! »