Donné comme esclave reproducteur – Quatrième partie

Maître Xavier confisque tous mes vêtements. Il me laisse nue sur la table de conférence où il vient de m’inséminer devant des centaines de personnes. Je roule sur le côté et essaie de reprendre mon souffle alors que je sens une traînée de son sperme chaud couler à l’arrière de ma cuisse et entre mes jambes. La façon dont il a fini à l’intérieur de moi, je sais avec certitude que je suis complètement rempli à la fois dans mon ventre et mes trompes de Fallope. Il a dû en avoir tellement qu’il fuit bien qu’il soit planté incroyablement profondément.

Tout le monde continue son conseil d’administration pendant que je prends une serviette pour nettoyer nos fluides mutuels sur la surface en chêne laqué du bureau. Je couvre mes petits seins avec mon bras et sors honteusement de la pièce, marchant complètement nu devant tous mes collègues et supérieurs. Tout ce que je porte, c’est le collier qu’il m’a attaché au cou le mois précédent.

Je passe le reste de la journée anxieuse et j’espère désespérément que je ne suis pas tombée enceinte, mais je sais que la puissante semence de Xavier est au fond de moi et je ne peux rien y faire. Je n’ai pas pris de contraceptif depuis des semaines et j’ai peur d’être fertile. En fait, je sais que je le suis. Je peux sentir mon pouls entre mes jambes quand je suis excité, je peux sentir mes fluides recouvrir mes sous-vêtements tout au long de la journée, je peux sentir la tendresse de mes seins lorsque mon soutien-gorge se presse fermement contre eux ; tous les signes d’un système reproducteur opérationnel prêt et désireux d’être imprégné. Cela ne m’est jamais arrivé auparavant, je ne sais pas à quoi m’attendre.

Je rentre chez moi et je me gare dehors. J’essaie de couvrir timidement mon corps nu pendant que je cours dans la maison, espérant que mes voisins ne me remarqueront pas, mais la porte d’entrée est verrouillée. J’essaie toutes mes clés les unes après les autres mais aucune ne fonctionne. Je suis debout nue et inséminée dans la cour avant de plus en plus longtemps à sonner à la porte pour que mon pathétique « petit ami » me laisse entrer. Les voisins promènent leurs chiens. Les voitures passent lentement devant moi. Stores de fenêtre et ouverture et fermeture dans les maisons voisines !

Au bout de dix minutes, j’entends la serrure de la porte se déverrouiller enfin. Je suis extrêmement soulagé que ce soit enfin fini jusqu’à ce que mon cœur se serre soudainement et que je me retrouve debout, terrifié, à regarder Xavier. Richard est agenouillé derrière lui, menotté et bâillonné. « Bienvenue à la maison, Wyvvs, » dit Xavier en passant la main derrière mon dos et en me tirant à l’intérieur. « Je ne veux pas que votre petit ami ait libre accès à vous, alors j’ai remplacé toutes les serrures de votre maison. Il ne sera pas autorisé à entrer sans ma permission et ma supervision. »

Il attrape doucement mes cheveux et penche ma tête en arrière pour m’embrasser passionnément. L’humiliation, la peur et le stress de tout cela sont indescriptibles, mais son affection, ses soins et son intimité sont tout aussi sublimes. Je suis tellement confus quant à ce que je ressens, tout ce que je sais avec certitude, c’est que je n’ai aucun respect pour mon petit ami, je ne peux même plus le considérer comme un homme. Quel genre de faible absolument pathétique abandonne sa propre femme pour être asservi, fécondé et fécondé par un homme supérieur ? J’ai envie de lui cracher dessus, mais il ne mérite même pas ce beaucoup d’affection de ma part. Je le regarde simplement avec dégoût.

Nous montons tous à l’étage sous la direction de Xavier – la chambre est à l’étage.

Xavier me guide d’un côté du lit… il me penche sur le matelas et les draps bleus.

Il traverse la pièce pour prendre Richard par le col et met Richard à genoux de l’autre côté du lit en face de moi. Nous nous regardons droit dans les yeux alors que Xavier se positionne derrière mes hanches et enlève sa queue puissante et dressée. Je le sens contre moi par derrière et je tourne la tête pour le regarder en arrière et vers le haut. J’ai encore très mal de tout à l’heure, mais je soupçonne qu’il le sait… Il veut que mon imprégnation soit définitivement inoubliable ; Je vais le sentir pendant des jours et des semaines après, à peine capable de marcher à cause de la force et de la profondeur avec laquelle il pénètre mon corps.

C’est à mon entrée, maintenant, encore. Je baisse la tête impuissante et me résigne à mon sort inéluctable, me faire baiser pour la deuxième fois aujourd’hui. A remplir et fertiliser encore plus. Pour que la certitude de ma grossesse soit encore accrue. Mais il ne me laisse pas baisser la tête, il tient mes cheveux et me tire vers le haut, s’assurant que je regarde mon petit ami directement dans les yeux.

Alors seulement, à cet instant, il entre en moi.

Je suis immédiatement haletant et hurlant de douleur et de plaisir. Il me tient par les côtés de mes joues pour me garder face à Richard. Un autre homme me fait haleter et crier alors qu’il me baise sur mon propre lit devant mon petit ami et il n’y a rien qu’aucun de nous ne puisse faire pour l’arrêter. Il me commande principalement par derrière : « Dis à ton petit ami ce que tu penses de lui, Wyverness. »

Entre mes cris à chaque pénétration forcée, je crie : « Tu ne vaux rien ! Comment – comment as-tu pu me faire ça ? Pourquoi es-tu si, si, si… faible ?! »

« Bonne fille, » Xavier me gifle les fesses par derrière, « Dis-lui à qui appartient cette propriété. » Il halète mes fesses puissamment dans sa main.

« C’est, c’est à toi ! » Je crie toujours « Je t’appartiens ! » regardant Richard, « Xavier mon v-utérus est ta propriété ! Je-je vais faire tes bébés !! » Xavier et moi jouissons tous les deux à ce moment précis tandis que mon petit ami minable et inutile regarde à genoux comme un esclave battu.

« Je, je-je vais, avoir, je, je vais avoir tes bébés, Xavier… »