De La Vigne | Histoires luxuriantes

Le mur de briques était rugueux contre la paume de mes mains…

J’ai écarté mes doigts pour une meilleure prise et j’ai déplacé l’autre main vers le bois à côté de moi alors que je sentais la sueur couler au milieu de mon dos arqué. Mes mamelons effleuraient à peine le mur à chaque poussée, un mélange enivrant de douleur et de plaisir. Tout ce que je pouvais entendre, c’était notre respiration mélangée, mon rythme cardiaque et le tintement des bouteilles.

Ah, oui, les belles bouteilles de vin contenues dans cette cave, dont certaines se trouvaient dans la caisse à vin en bois qui me servait de levier. Nous avions réussi à nous éloigner du reste du groupe de touristes et nous nous sommes retrouvés dans le coin juste en dessous de la fenêtre qui fournissait la seule source de lumière dans la pièce autrement ombragée. C’était absolument passionnant.

Son visage fut soudainement pressé contre le mien et j’arquai davantage mon dos pour m’assurer qu’il restait profondément enfoui en moi. Chaque poussée me disait à quel point il me voulait, à quel point c’était amusant, à quel point il était reconnaissant d’être à moi. Sentir cette délicieuse pression alors qu’il m’ouvrait avec son membre rigide, ces lignes et ces crêtes que je connaissais si intimement amenant une toute nouvelle vague de luxure. Je tremblais, reconnaissante de sa poigne autour de ma taille pour m’empêcher de tomber.

Quand il a grogné l’aveu, « Je le sens… je sens mes couilles picoter, » je l’ai poussé en arrière pour avoir de la place pour me retourner et je me suis mis à genoux, le prenant entre mes lèvres. J’ai continué à bouger la tête de haut en bas de sa hampe, ré-imaginant la sensation de sa peau mouillée de sueur, sa chaleur… Je devais me toucher, je devais basculer avec lui. J’ai atteint sous ma robe, mes doigts volant sur mon clitoris. Nous avons établi un contact visuel le moment avant que je sente tout son désir brut se déverser en moi, avalant pour minimiser le nettoyage, malgré que ma libération se retrouve sur le sol.

Je me levai et lui fermai la fermeture éclair, lissai ma robe et mes cheveux et essuyai la sueur de son front, nous souriant et riant tous les deux. Nous nous sommes dépêchés de rejoindre les autres, mais pas avant d’avoir partagé un baiser plus doux que n’importe lequel des vins que nous avons goûtés ce jour-là.