Oh, je te vois là, petit, tes yeux me défient.
Vous savez que j’agirai sur votre défi espiègle.
Tu sais que tu n’es pas tout à fait paré comme je le préfère.
Votre collier et votre laisse ne sont pas prêts.
Pour quand je veux tirer ton nez et ta langue entre mes jambes.
Maintenant, oh maintenant, vous devrez être puni pour cet oubli.
Ah, tes yeux montrent enfin de la compréhension.
Nous avons toute la nuit pour que vous gagniez en sagesse.
Des minutes sur des infinis sans fin, vous serez obligé de vous faufiler.
Constamment nié.
Aucun soulagement accordé.
Vos trous et votre clitoris abusés sans relâche.
Des cris de miséricorde et de joie remplissant musicalement le vide.
Vous tenez bravement
Votre mot de sécurité est la seule chose que vous refusez obstinément de prononcer.
Ça continue encore et encore, jusqu’à ce que j’estime que tu en as assez.
Mon nectar dégoulinant, mais pas le vôtre à goûter cette nuit.
Tout cela faute de collier et de laisse.