Ava vient de rentrer d’une longue journée d’interviews et se détend avec un verre de vin en regardant la série YOU ! sur Netflix.
Son téléphone vibre sur le canapé, c’est un message de George qui apparaît sur l’écran de devant. Elle est intriguée alors elle ouvre le reste du message.
« Salut Ava, je suis dans le coin, ça te dérange si je viens ? »
Ava répond « Ouais, bien sûr. »
Vingt minutes plus tard, Ava se retrouva à ouvrir la porte à George qui attrapa immédiatement sa taille, attirant Eva dans une étreinte serrée. Elle lui verse un verre de vin et il la rejoint sur le balcon, elle n’a pas l’air enjouée d’habitude.
« Quoi de neuf? Vous semblez tendu.
« Je vais bien, merci. » Elle marque une pause, puis décide de dire la vérité. « Eh bien, en fait, j’ai eu une longue journée d’entretiens aujourd’hui et je ne pense pas qu’aucun des candidats ne convienne pour le poste. Alors maintenant, je pense que je vais être submergé de travail pendant un certain temps.
« Oh, je suis désolé d’entendre ça, peut-être que je peux te remonter le moral, » dit George avec un sourire.
Il se rapproche d’Ava et la saisit à nouveau par la taille. Cette fois, Ava fut surprise de la longueur de l’étreinte, les deux mains voyageant doucement le long de sa colonne vertébrale. George ne la retient généralement pas aussi longtemps. C’est encore plus agréable parce qu’il la domine à 6 pieds de haut.
Les deux mains se dirigent vers la cage thoracique d’Ava et commencent à la chatouiller.
Ava surprise laisse échapper un rire aigu et se retire immédiatement.
Toujours en riant, Ava dit: « Je suis super chatouilleuse, je ne peux pas le contrôler. »
« Oh ouais, eh bien peut-être que je peux utiliser ma langue pour te chatouiller ailleurs. »
Sa mâchoire tombe, son string est serré et légèrement humide.
Il a les yeux rivés sur les siens, elle est sans voix.
Ils s’installent dans le salon en posant leurs verres de vin sur la table basse. Alors qu’Ava se retourne, George est face à face avec elle, fixant le même regard qu’ils avaient il y a un instant sur le balcon. Il la soulève et allonge Ava sur le canapé en velours vert, les jambes écartées.
Sa jambe gauche commence à ressentir une sensation chaude et humide qui lui chatouille la cheville, elle commence à se déplacer le long de sa jambe, jusqu’à ses cuisses.
Ava gère une équipe de six personnes au travail où George est un junior nouvellement rejoint, alors Ava ne s’attendait pas à ce que George prenne le contrôle d’elle de cette façon, elle aime bien ça.
Elle sent soudain un picotement descendre son clitoris à travers les chatouillements de sa langue.
Le chatouillement se transforme en une sensation chaude et humide glissant de son monticule trempé et remonte jusqu’à son clitoris
Ava laisse échapper un léger gémissement, elle ne peut pas croire que George lui fasse cet acte de plaisir indescriptible. Il a cinq ans de moins. Ils s’entendaient bien au travail, cependant, elle ne pensait pas à lui de cette façon, et dans cette situation auparavant !
Sa langue humide prend de la vitesse, la dévorant comme du miel.
Des carquois sont envoyés directement à travers son corps, se tortillant loin des rivières de plaisir mais George ne la laisse pas, s’agrippant à ses cuisses soyeuses. Il ne veut pas perdre le contact de sa langue française en embrassant son clitoris.
Elle commence à haleter, il sait qu’elle est sur le point de jouir.
Il continue de dévorer les jus sucrés qui s’échappent de son monticule, lapant les restes de son clitoris, le faisant briller sur son point doux.
Les muscles de son corps se contractent, se réchauffant pour la chevauchée de plaisir orgasmique qu’elle est sur le point d’endurer.
Une main attrape une poignée de ses cheveux, l’autre agrippe le coussin
Son corps libère le plaisir comme une marée tout le long de son corps jusqu’à ses orteils.
George gémit un son de satisfaction dans son monticule, laissant de petits baisers sur le chemin du retour le long de ses cuisses.
Il est assis à côté d’Ava, regardant son corps nu en sueur se remettre de son travail.
En lui caressant les cheveux, il dit : « Ça va mieux ?
Les yeux toujours fermés, elle rigole : « Oui beaucoup mieux grâce à toi, je suis tellement contente que tu sois dans le coin, et en moi ! »